Silence, on socia-lyse, de Niakan Ha’iri Diarra

Quatrième de couverture : Après Silence, on boit…, Niakan Diarra revient avec Silence, on socia-lyse… Le tome II de cette trilogie des Silence… Comment parler de soi sans verser dans le grandiloquent ou dans le misérabilisme ? Comment parler de l’institution sans verser dans la critique caricaturale ? Il faut sans doute s’aimer un peu soi-même, aimer l’institution, pour se dire, dire les autres, sans blesser, dans le souci de construire. Cette tentative d’autobiographie dans une Église qui a désormais plus de cent ans, n’est pas un plaidoyer pro domo.
Vivement Silence, on aime

Parution : 2012
En coédition avec l’Harmattan

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– Dans tous les points de vente des éditions La Sahélienne
– Sur le site de l’Harmattan (version papier ou numérique)

Article de presse sur « Maaya, l’entrepreneuriat. Le modèle entrepreneurial du Festival sur le Niger » de Godelieve Spaas

Un article est paru dans la presse nationale, au sujet du livre de Godelieve Spaas, Maaya, l’entrepreneuriat. Le modèle entrepreneurial du Festival sur le Niger / Maaya Entrepreneurship. The Entrepreneurial Model of the Festival sur le Niger (hors collection), paru en février 2012.

Vous pouvez le retrouver en ligne :

Des prix littéraires pour des auteurs de La Sahélienne

Les éditions La Sahélienne ont le plaisir et l’honneur de vous annoncer qu’à l’issue des manifestations de La Rentrée Littéraire du Mali, qui s’est déroulée du 07 au 10 Février à Bamako, 2 ouvrages de notre maison d’édition ont été primés :
– Prix du premier roman : La Révolte de Zangue, l’ancien combattant de Fodé Moussa Sidibé
– Prix  Spécial Femme, Femmes sans avenir de Hanane Kéita.

Entre absence et refus d’enfant. Socio-anthropologie de la gestion de la fécondité féminine à Niamey, Niger, de Hadiza Moussa

Quatrième de couverture : L’incapacité ou le refus de donner naissance à un enfant sont sujets à la critique sociale : la trame existentielle d’une femme sans enfant met en lumière un enchaînement de sentiments et d’affects qui « brouillent » ses rapports à autrui.
L’étude de la pratique contraceptive met en lumière des positionnements divers qui témoignent de la prévalence de normes contradictoires et d’une « islamisation » progressive des mœurs qui réglementent la vie de famille. On est en présence d’une sujétion plurielle du corps féminin qui favorise a contrario une multiplicité de microstratégies « subversives » de l’ordre social. Cette ethnographie de la « sexualité inféconde » dévoile l’existence de rapports hiérarchiques socialement construits entre les sexes, une hiérarchisation qui influence de manière significative la vie reproductive des femmes.

L’auteure : Titulaire d’une thèse en socio-anthropologie de l’EHESS de Marseille, Hadiza Moussa a reçu une formation initiale d’institutrice. Elle a capitalisé une solide expérience dans les recherches touchant à la santé de la reproduction.
Au sein du LASDEL (Laboratoire d’études et recherches sur les dynamiques sociales et le développement local) dont elle est membre depuis 2003, elle travaille sur les interactions entre usagers et services publics en milieu médical, la décentralisation, l’État local, les pouvoirs locaux, la problématique de l’approche genre dans le développement local, les réformes en milieu scolaire.
Hadiza Moussa est enseignante à l’université Abdou-Moumouni de Niamey et membre du réseau Femmes, sciences et technologies (RFST) section du Niger.

Parution : Février 2012
Ouvrage coédité avec L’Harmattan

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– Dans tous les points de vente des éditions La Sahélienne
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Hadiza MOUSSA

Titulaire d’une thèse en socio-anthropologie de l’EHESS de Marseille, Hadiza Moussa a reçu une formation initiale d’institutrice. Elle a capitalisé une solide expérience dans les recherches touchant à la santé de la reproduction.
Au sein du LASDEL (Laboratoire d’études et recherches sur les dynamiques sociales et le développement local) dont elle est membre depuis 2003, elle travaille sur les interactions entre usagers et services publics en milieu médical, la décentralisation, l’État local, les pouvoirs locaux, la problématique de l’approche genre dans le développement local, les réformes en milieu scolaire.
Hadiza Moussa est enseignante à l’université Abdou-Moumouni de Niamey et membre du réseau Femmes, sciences et technologies (RFST) section du Niger.

Livre paru à La Sahélienne

– Entre absence et refus d’enfant. Socio-anthropologie de la gestion de la fécondité féminine à Niamey, Niger, de Hadiza Moussa, essai, L’Harmattan/La Sahélienne, coll. Études africaines, février 2012

Mohamed Hamady COULIBALY

Mohamed Hamady Coulibaly est né en 1982 à Anyama, Côte d’Ivoire. Après un court passage à l’École nationale d’administration du Mali, il fait une formation pour enseigner le français, l’histoire et la géographie dans les collèges. Il est en poste dans une école de Kita et anime un groupe de rap. Sanglots de joie est son premier ouvrage.

Livre paru aux éditions La Sahélienne
– Sanglots de joie, hors collection, poésie, 2012

Les larmes de la tombe, d’Aïcha Diarra

Quatrième de couverture : « Maintenant que la tristesse sème l’allée de mon regard,
Et que la solitude imite ma façon de marcher,
Oh ! Seigneur, vous que j’aime et que j’aimerai par-dessus tout,
Je cesse de vous reprocher de me l’avoir enlevé,
Mais n’interdisez pas à mes yeux de pleuvoir »

L’auteure : Aïcha Diarra est née en 1994 à Bamako.
Élevée au milieu de nombreux frères et sœurs, cousines et tantes, elle est scolarisée dès l’âge de quatre ans dans une école de Quinzambougou, à Bamako. Selon ses proches, durant toute sa scolarité, du primaire jusqu’au baccalauréat, elle est restée première au classement des écoles qu’elle a fréquentées.
Aïcha a commencé à écrire ses premiers poèmes à neuf ans.
Le présent recueil est de pure imagination : une petite fille parle de son grand-père, de solitude, d’amour, mais aussi des problèmes de la vie comme la faim et la pauvreté.
Adepte de football féminin, elle est milieu de terrain dans une équipe de Bamako qui a participé à une compétition internationale des moins de quatorze ans, en 2008 en Norvège. Super Club, son équipe, a remporté le tournoi en question, qui a vu la participation de 81 pays.

Parution : 2012
Coédition avec L’Harmattan.

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