- (pas de titre)
- Communication sur Chab, finaliste du Prix Orange
Professeur d’esthétique, acteur reconnu de la scène artistique malienne, Chab Touré raconte dans son premier roman, Le livre d’Elias, la peur, le désespoir, la précarité de toute chose et la perte de sens, quand on vit dans un pays frappé par la folie du terrorisme.
Ce digne héritier des savants des grands empires est porteur d’un imaginaire fascinant, né en bordure du Sahara. C’est un esprit libre, gouailleur, usant tour à tour de mots drus ou tendres, pour raconter
les blessures d’un monde en train de s’effondrer. Le livre d’Elias, son premier roman, est paru aux éditions La Sahélienne.Il a obtenu le prix du Premier Roman décerné par l’Union européenne lors de l’édition 2021 du festival « La Rentrée littéraire du Mali »
Le livre d’Elias est l’un des six finalistes du Prix Orange du livre en Afrique.
Rendez-vous le lundi 28 mars à 18 heures, à l’Institut Français, pour assister à une table ronde télévisée animée par la directrice de Manden TV, avec comme participants Chab Touré, Ismaila Samba TRAORE son éditeur, Mme Touré représentant le Prix Orange. Entrée libre. - Prix Orange du Livre en Afrique
Les six finalistes du Prix Orange du Livre en Afrique 2022 ont été sélectionnés
Le Prix Orange du Livre en Afrique œuvre pour la promotion des talents littéraires africains et de l’édition locale africaine. Depuis 2019, il récompense un roman écrit en français par un écrivain africain, publié par une maison d’édition africaine. Les comités de lecture de cette 4e édition ont délibéré et ont désigné les 6 romans finalistes parmi les 57 livres présentés cette année.
Représenter l’Afrique dans sa richesse et sa diversité
Les 57 livres en lice pour cette 4e édition ont été présentés par 39 maisons d’édition basées sur tout le continent : Maghreb, Afrique saharienne, Afrique de l’Ouest et de l’Est. Pour sélectionner les finalistes, 6 comités de lecture rassemblant en tout une centaine de lecteurs issus de 15 pays d’Afrique francophone se sont mobilisés. Chaque livre a ainsi été lu par au moins 12 lecteurs aux profils variés : professionnels du livre (libraires, éditeurs, bibliothécaires, journalistes littéraires…), mais aussi passionnés de lecture, parmi lesquels de nombreux salariés du groupe Orange en Afrique.
Les six finalistes du Prix Orange du Livre en Afrique 2022 sont :
- Destin Akpo (Bénin), Colorant Felix, éditions Savanes du continent, Bénin
- Beyrouk (Mauritanie), Le silence des horizons, éditions Elyzad, Tunisie
- Chab (Mali), Le livre d’Elias, éditions La Sahélienne, Mali
- Khaoula Hosni (Tunisie), Le prix du cinquième jour, Arabesques, Tunisie
- Lorance-K (Cameroun), Maguia ou le prix de la liberté, La jeune plume, Cameroun
- Yamen Manaï (Tunisie), Bel abîme, Elyzad, Tunisie
Le détail des biographies et la présentation des livres se trouvent en annexe et sur le site www.lecteurs.com
Le lauréat sera désigné par un jury international en juin 2022
Les 6 livres finalistes sont désormais entre les mains d’un jury international présidé par Véronique Tadjo et composé de personnalités du monde littéraire : Yvan Amar (journaliste Radio France), Kidi Bebey (journaliste Le Monde, éditrice et auteure, France), Yahia Belaskri (écrivain et journaliste, Algérie), Mamadou Camara (nouvelliste et président de l’association « Les vendredis du livre », Sénégal), Eugène Ebodé (écrivain, Cameroun), Prudentienne Houngnibo Gbaguidi (présidente de l’association des libraires du Bénin, administratrice de l’AILF, Bénin), Nicolas Michel (journaliste Jeune Afrique, France), Nétonon Noël Ndékéry (auteur, Tchad),
Gabriel Mwènè Okoundji (psychologue et poète, Congo), Ariane Poissonnier (journaliste RFI, France), Loubna Serraj (lauréate 2021, Maroc).
Ce jury annoncera en juin le lauréat de la 4e édition du Prix Orange du Livre en Afrique.
Le lauréat recevra une dotation de 10 000 euros et bénéficiera d’une campagne de promotion de son ouvrage. Les éditeurs des livres finalistes bénéficieront quant à eux de rencontres professionnelles élaborées en fonction de leurs besoins exprimés et animées par l’Alliance Internationale des Editeurs Indépendants.
Le Prix Orange du Livre en Afrique s’inscrit dans le cadre des engagements de la Fondation
Orange en Afrique visant à accompagner les pays dans leur développement, notamment sur le plan culturel.
- Les révoltes islamiques d’esclaves de Bahia, Brésil
Résumé: Cette étude est la preuve que la construction de
l’identité est un des facteurs les plus importants de la survie d’un peuple. Par définition, la préservation de l’identité
culturelle d’un peuple, quel qu’il soit, ne peut être maintenue que par l’histoire. Par conséquent, cette préservation est la fonction de notre peuple. Personne d’autre ne peut raconter notre histoire. Il faut parler de notre propre voix. Accomplir cette fonction est l’objectif premier de l’institut Sankore, c’est à dire de parler au nom des États-Unis et de raconter notre histoire!J’espère que les leaders des musulmans indigènes de l’hémisphère occidental donneront à cette étude une place importante dans leurs archives.
J’espère que vous examinerez ce texte à la lumière de la situation actuelle et que vous ajouterez tous les commentaires, les ajouts et les critiques nécessaires. Al-Hajj Malik el-Shabazz, (rahimuhu Allah taala)
disait : « Ceux qui n’arrivent pas à comprendre l’histoire sont
condamnés à la répéter. »Format: 13.5cm x 21cm
Nombre de pages: 163
ISBN: 978-99952-79-02-8
Parution: Janvier 2022
Disponible dans nos points de vente
- Le Présage
Résumé: Daabéri Hikoy Sandy et son épouse Bonchria Gandjikoy Bossou sont des diplômés sans emploi. Victimes d’une précarité endémique, ils sont tenaillés par le dilemme : migrer ou s’engager dans une lutte politique à l’issue incertaine. Foncièrement attachés à leur patrie, ils ne revendiquent que leur droit au travail afin de vivre avec dignité. Ce roman d’alerte
se penche sur les signes avant-coureurs d’épreuves auxquelles la nation malienne est à jamais confrontée.Auteur: Yacouba Issoufi MAIGA a fait ses études primaires à Gao II et secondaires à Tombouctou et à Bamako. Il est Ingénieur diplômé en Constructions Civiles–Hydraulicien, à l’Institut Polytechnique Supérieur
Jose Antonio Echeverria (ISPJAE), Havane, Cuba. Il a été Coordonnateur Adjoint du Projet PNUD-GTZ pour la réinsertion des populations déplacées rapatriées après le génocide de 1994 au Rwanda et fonctionnaire détaché auprès à la Société de Gestion et d’Exploitation de la Navigation sur le Fleuve Sénégal ( SOGENAV-OMVS ) sise à Nouakchott. Il est membre
fondateur et premier Président de l’Association Malienne d’Amitié avec
les Peuples de l’Amérique Latine et des Caraïbes, Sécrétaire aux Relations
Extérieures de l’Association Malienne de Développement des Zones
Sahélo-Sahariennes et un des Présidents d’honneur de l’Association des
Communautés de Culture Songhay « IRGANDA » en Mauritanie.
Premier roman : Boriben. Fermez ports et aéroports je viendrai
quand même, La Sahélienne, Mars 2021Format: 13.5cm x 21cm
Nombre de pages: 101
ISBN: 978-99952-76-90-4
Parution: Janvier 2022
Disponible dans nos points de vente
Archives de l’auteur : La Sahélienne
Communication sur Chab, finaliste du Prix Orange
Professeur d’esthétique, acteur reconnu de la scène artistique malienne, Chab Touré raconte dans son premier roman, Le livre d’Elias, la peur, le désespoir, la précarité de toute chose et la perte de sens, quand on vit dans un pays frappé par la folie du terrorisme.
Ce digne héritier des savants des grands empires est porteur d’un imaginaire fascinant, né en bordure du Sahara. C’est un esprit libre, gouailleur, usant tour à tour de mots drus ou tendres, pour raconter
les blessures d’un monde en train de s’effondrer. Le livre d’Elias, son premier roman, est paru aux éditions La Sahélienne.Il a obtenu le prix du Premier Roman décerné par l’Union européenne lors de l’édition 2021 du festival « La Rentrée littéraire du Mali »
Le livre d’Elias est l’un des six finalistes du Prix Orange du livre en Afrique.
Rendez-vous le lundi 28 mars à 18 heures, à l’Institut Français, pour assister à une table ronde télévisée animée par la directrice de Manden TV, avec comme participants Chab Touré, Ismaila Samba TRAORE son éditeur, Mme Touré représentant le Prix Orange. Entrée libre.
Prix Orange du Livre en Afrique
Les six finalistes du Prix Orange du Livre en Afrique 2022 ont été sélectionnés
Le Prix Orange du Livre en Afrique œuvre pour la promotion des talents littéraires africains et de l’édition locale africaine. Depuis 2019, il récompense un roman écrit en français par un écrivain africain, publié par une maison d’édition africaine. Les comités de lecture de cette 4e édition ont délibéré et ont désigné les 6 romans finalistes parmi les 57 livres présentés cette année.
Représenter l’Afrique dans sa richesse et sa diversité
Les 57 livres en lice pour cette 4e édition ont été présentés par 39 maisons d’édition basées sur tout le continent : Maghreb, Afrique saharienne, Afrique de l’Ouest et de l’Est. Pour sélectionner les finalistes, 6 comités de lecture rassemblant en tout une centaine de lecteurs issus de 15 pays d’Afrique francophone se sont mobilisés. Chaque livre a ainsi été lu par au moins 12 lecteurs aux profils variés : professionnels du livre (libraires, éditeurs, bibliothécaires, journalistes littéraires…), mais aussi passionnés de lecture, parmi lesquels de nombreux salariés du groupe Orange en Afrique.
Les six finalistes du Prix Orange du Livre en Afrique 2022 sont :
- Destin Akpo (Bénin), Colorant Felix, éditions Savanes du continent, Bénin
- Beyrouk (Mauritanie), Le silence des horizons, éditions Elyzad, Tunisie
- Chab (Mali), Le livre d’Elias, éditions La Sahélienne, Mali
- Khaoula Hosni (Tunisie), Le prix du cinquième jour, Arabesques, Tunisie
- Lorance-K (Cameroun), Maguia ou le prix de la liberté, La jeune plume, Cameroun
- Yamen Manaï (Tunisie), Bel abîme, Elyzad, Tunisie
Le détail des biographies et la présentation des livres se trouvent en annexe et sur le site www.lecteurs.com
Le lauréat sera désigné par un jury international en juin 2022
Les 6 livres finalistes sont désormais entre les mains d’un jury international présidé par Véronique Tadjo et composé de personnalités du monde littéraire : Yvan Amar (journaliste Radio France), Kidi Bebey (journaliste Le Monde, éditrice et auteure, France), Yahia Belaskri (écrivain et journaliste, Algérie), Mamadou Camara (nouvelliste et président de l’association « Les vendredis du livre », Sénégal), Eugène Ebodé (écrivain, Cameroun), Prudentienne Houngnibo Gbaguidi (présidente de l’association des libraires du Bénin, administratrice de l’AILF, Bénin), Nicolas Michel (journaliste Jeune Afrique, France), Nétonon Noël Ndékéry (auteur, Tchad),
Gabriel Mwènè Okoundji (psychologue et poète, Congo), Ariane Poissonnier (journaliste RFI, France), Loubna Serraj (lauréate 2021, Maroc).
Ce jury annoncera en juin le lauréat de la 4e édition du Prix Orange du Livre en Afrique.
Le lauréat recevra une dotation de 10 000 euros et bénéficiera d’une campagne de promotion de son ouvrage. Les éditeurs des livres finalistes bénéficieront quant à eux de rencontres professionnelles élaborées en fonction de leurs besoins exprimés et animées par l’Alliance Internationale des Editeurs Indépendants.
Le Prix Orange du Livre en Afrique s’inscrit dans le cadre des engagements de la Fondation
Orange en Afrique visant à accompagner les pays dans leur développement, notamment sur le plan culturel.
MANSALA, le Mali d’après crise
Résumé: Préoccupé, comme la plupart de ses compatriotes, par la grave crise
multidimensionnelle que connaît son pays, l’auteur, a imaginé la nouvelle nation post-crise qu’il faudra bâtir : un Mali nouveau qui pourra se hisser à moyen terme au rang des pays émergents.
L’ouvrage plonge dans le passé pour rechercher les causes profondes de cette chute d’un Mali héritier des grands empires, qui brillait au firmament des pays africains au moment des indépendances, mais qui se trouve aujourd’hui dans un gouffre abyssal, soixante ans seulement après son
indépendance.
Les citoyens et les décideurs politiques découvriront au détour des chapitres de ce livre des propositions analytiques, des pistes pour inspirer le présent et une vision pour bâtir l’avenir.
Auteur: Moussa Balla DIARRA est né à Ségou en 1950. Il a effectué ses études primaires à
Ségou, Kayes, puis à Mopti où il décrocha le Diplôme d’ Etudes Fondamentales en 1966. Au Lycée Askia où il a été orienté, il a obtenu le Baccalauréat dans la série sciences exactes en 1970. Orienté à l’Ecole Nationale d’Ingénieurs (ENI) de Bamako, il termine en 1974 avec le
diplôme d’ingénieur des sciences appliquées, spécialité électromécanique, avec
mention très bien.
Cet opérateur économique du secteur privé fut député à l’Assemblée
Nationale de 1997 à 2002, puis membre du Conseil Économique Social et Culturel du Mali de 2015 à 2020.
Ouvrages publiés
Etre député en Afrique, 2006
Mansala. Le Mali d’après crise, La Sahélienne, 2020
Les arnaqueurs sont en ville, La Sahélienne, 2021
Format: 15cm x 24cm
Nombre de pages: 169
ISBN: 978-99952-76-47-8
Parution: 2020
Disponible auprès de l’auteur
Contact: 66 93 81 86
Ma politique de développement humain durable décentralisé pour le Mali, Candidature à l’élection présidentielle de 2018, de Mahamadou Maiga
Image
Quatrième de couverture : Après une critique de la vie politique et économique au Mali, l’auteur plaide pour le dépassement du régime d’IBK, caractérisé par un manque de vision politique, une trop grande instabilité gouvernementale (5 Premiers ministres en 4 ans et 4 mois), le manque de volonté politique de lutter contre la corruption et la délinquance financière, l’incapacité de ramener la paix et la sécurité dans le pays et l’incapacité de résoudre les problèmes du peuple et de la jeunesse. Il propose donc une nouvelle PDHD d’approche altermondialiste où l’homme est la finalité du développement, qui implique une révision des politiques macroéconomique et budgétaire par la réduction du train de vie de l’Etat et, une vraie décentralisation basée sur les désidérata du peuple. Les domaines prioritaires sont : l’éducation et la formation pour l’emploi des jeunes ; l’agriculture de souveraineté alimentaire et la lutte contre la spéculation foncière ; la promotion de l’emploi urbain et rural ; l’amélioration de la santé ; la promotion de la culture ; les infrastructures de transport et de communication ; l’équilibre du genre entre femme et homme ; l’éradication de la corruption et de la délinquance financière ; la réforme des forces de défense et de sécurité ; la protection des intérêts des maliens de l’extérieur ; l’amélioration des relations avec l’extérieur et ; le renforcement du Personnel de l’information et communication par l’érection éventuelle d’un pouvoir constitutionnel pour celui-ci.
L’auteur : Titulaire du Doctorat d’Etat ès Sciences Economiques (de l’Université de Paris-1-Panthéon-Sorbonne, avril 1976), Mahamadou Maïga travaille depuis 1971 dans les domaines de la planification et des politiques du développement économique, social, agricole et rural durable, notamment avec l’IDEP (1972-76), l’OMVS (1976-77), le CILSS (1979-82), la FAO (1982-2005) et des organisations de développement (CBLT, BAD, PNUD, FIDA). Il est membre du FSM, du MSA et du COCIDIRAIL et se consacre à la réflexion et l’action sur la démocratisation, le développement humain durable décentralisé et l’intégration de l’Afrique.
Parution : 2018
ISBN 978-99952-70-86-5
Acheter le livre : Dans tous les points de vente des éditions La Sahélienne
Kuma, les turpitudes et la sagesse de la parole, de Amadou Keita
Image
Quatrième de couverture :
Parole ! Parole ! Parole !
Oui, la parole est une lame
A double tranchant:
Bien utilisée,
Elle tranche un objet,
Mal utilisée,
Elle coupe celui qui la tient.
L’auteur : Amadou Keita est Docteur en droit et en science politique. Maître de Conférences à l’Université des Sciences Juridiques et Politiques de Bamako, il a été successivement Doyen de la Faculté de Droit Public (2011-2012), Membre de la Cour Constitutionnelle du Mali (2012-2015) et Conseiller Spécial du Médiateur de la République (2016-2017). Il a également été Professeur invité d’universités en Italie et chercheur associé du CNRS à Sciences Po Bordeaux (France). Il est auteur ou coauteur de nombreuses publications. Depuis juin 2017, il est le Directeur Général de l’Ecole Nationale d’Administration du Mali. Il a publié en 2012 un roman intitulé « Les roues du destin ».
Parution : 2018
ISBN 978-99952-70-85-8
Acheter le livre : Dans tous les points de vente des éditions La Sahélienne
Terre d’espérance, de Mohamed Diarra
Image
Septembre, Septembre !
Que nous porteras-tu demain
Dans ta coupe encore pleine,
Au soleil qui brûle aux jours
Leur ventre dur et rond ?
Est-ce toujours de la sueur
Pour des fronts ternes
Sur le marché du travail
Où flétrissent des rêves en attente ?
Y aura-il pour leur misère encore grasse
Un désert où épuiser son viatique ?
Vienne, vienne Septembre, d’un feu glouton
Consumer cette corbeille de promesses et de mots stériles !
L’auteur : Mohamed DIARRA est né en 1970 à Sikasso où il fit ses études primaires et secondaires. Etudiant en Bibliothéconomie à l’Institut de la culture de Minsk (Bélarusse), il découvre la poésie russe à travers les œuvres de Pouchkine, Lermontov et Essenine. De retour au Mali, il fréquente les milieux littéraires et publie pendant quelques années des poèmes dans des journaux, puis s’oriente vers le roman. Mohamed DIARRA est Assistant de recherche à l’Institut Universitaire de Technologie de l’Université des Lettres et des Sciences Humaines de Bamako.
Parution : 2018
ISBN 978-99952-70-82-7
Acheter le livre : Dans tous les points de vente des éditions La Sahélienne
Les batisseurs de l’architecture en terre de Tombouctou, de Aly Ould Sidi
Quatrième de couverture : Ali Ould Sidi s’acquitte d’un devoir vis-à-vis de la corporation des maçons de Tombouctou qui depuis près d’un quart de siècle s’est engagée volontairement à ses cotés, pour conserver, préserver et valoriser les biens culturels de Tombouctou.
De nos jours l’engagement des maçons à maintenir puis valoriser l’architecture en terre de Tombouctou leur a valu non seulement la reconnaissance nationale comme Trésors Humains Vivants du Mali, mais aussi la reconnaissance internationale de l’Unesco.
Ali Ould Sidi dresse l’inventaire des grands défis auxquels sont confrontés le maçon et l’architecture de Tombouctou, à savoir la perte du savoir et du savoir faire traditionnel, les menaces liées à l’introduction des matériaux neufs tels le ciment, le fer. En terme de solution, il suggère l’adaptation desdits artisans aux exigences du monde moderne, les invite au maintien d’un équilibre entre le droit au développement et le devoir de préserver le patrimoine et de le transmettre aux générations futures.
L’auteur : Né en 1954 à Tombouctou où il effectua au moins un quart de siècle de vie professionnelle, Ali Ould Sidi est détenteur d’une maîtrise en histoire géographie de l’Ecole Normale Supérieure de Bamako et d’un Master of Arts en Géographie culturelle de Western Illinois University, U.S.A. Il est l’auteur de plusieurs articles sur Tombouctou et ainsi que deux ouvrages à savoir Le patrimoine culturel de Tombouctou : enjeux et prespectives ; Les mystères de Tombouctou, la ville mystérieuse . ‘‘Expert de l’ICOMOS, ancien chercheur au Centre Ahmed Baba de Tombouctou, chef de la Mission Culturelle de Tombouctou de 1993 à 2013. Entre 2009 et 2013, il fut membre du comité du patrimoine mondial de l’UNESCO et son rapporteur général lors de la 35ème session de Paris en 2011. De 2014 à 2016, il a assuré la fonction de Conseiller technique au ministère de la Culture du Mali.
Parution : 2018
ISBN 978-99952-70-80-3
Acheter le livre : Dans tous les points de vente des éditions La Sahélienne
Les chants de la messe, Fonctions, choix et exécution, de Hassa Florent KONÉ
Quatrième de couverture : Ce livre est un instrument de travail à l’usage des communautés chrétiennes et des responsables de chorales afin de rendre les liturgies plus priantes, plus vivantes, plus évangélisatrices et missionnaires. Il s’agit d’un éclairage pour aider le choriste dans la préparation et l’exécution des chants de la messe. Chaque acteur du chant liturgique (assemblée, prêtre, diacre, choristes) y découvre son rôle. Au-delà de la préparation et de l’exécution immédiate des chants liturgiques, c’est tout l’esprit du chant liturgique qui transparait dans ce travail, de même que l’attitude d’un service choral liturgique tel que le rite romain le demande.
L’auteure : Hassa Florent Koné est prêtre du diocèse de San depuis 1996. Il a servi dans la paroisse de Sokoura jusqu’en 2005, tout en travaillant avec les chorales, comme responsable de la liturgie, aux niveaux paroissial, diocésain et national. Parallèlement il a fait des recherches auprès des griots et des musiciens bwa. De 2005 à 2011, il effectue des études de théologie à l’Institut Pontifical Saint-Anselme de Liturgie de Rome ( PIL), et à l’Institut Pontifical de Musique Sacrée de Rome (PIMS). Il est docteur en liturgie. Père spirituel et vice-recteur du Grand Séminaire de Bamako à partir de 2011, il y enseigne la Liturgie et la Théologie sacramentaire tout en dispensant des cours de communication à l’Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest – Unité Universitaire de Bamako (UCAO-UUBa). L’ Abbé Hassa Florent Koné est nommé recteur du Grand Séminaire Saint-Augustin de Bamako en mai 2017.
Parution : 2018
ISBN 978-99952-70-79-7
Acheter le livre : Dans tous les points de vente des éditions La Sahélienne
Chroniques déstabilisées d’une franco-malienne à Mopti d’Avril 2012 à Février 2016, de Dominique Lusardy
Quatrième de couverture : Le 17 Janvier 2012, le nord du Mali est envahi par des Touaregs irrédentistes ayant fui la Libye où Mouammar Khadaffi a été tué. Suivra un coup d’Etat le 21 Mars 2012. Peu après, les Français de Mopti et région sont sommés par leur ambassade de se rapatrier sur Bamako. L’auteure envoie alors un même mail pour rassurer tous ses proches. C’est le début d’une longue correspondance, au gré des évènements, de leurs ressentis, des conséquences au quotidien, en particulier à Mopti, devenue zone tampon. Un cycle incessant d’espoirs naissants puis d’espoirs déçus… Une foule de questionnements sur les choix politiques, militaires, socio-économiques… des interrogations sur le dit « développement »… Une nouvelle conscientisation de la jeunesse…
Cet ouvrage s’inscrit dans un diptyque dont l’autre partie s’intitule : « Mopti, l‘Incorruptible ».
L’auteure : Née en 1958, en France, Dominique Lusardy, après une maîtrise en AES (Administration Economique et Sociale) et plusieurs emplois dans le commercial principalement, est de plus en plus choquée par la différence Nord-Sud et part pour le Mali où elle intègre une ong à Mopti. Quatre ans après, de moins en moins persuadée que le développement socio-économique du pays passe par les ongs, elle quitte et crée une association d’appui aux jeunes mères célibataires dont le but est la réinsertion socio-économique des jeunes mamans. L’activité économique principale de l’association est un restaurant et l’auteure ouvre, à proximité, un hôtel sans restaurant, pour que l’association puisse vivre de la restauration de la clientèle de l’hôtel. En 2006, Dominique obtient la nationalité malienne. A partir de 2008-2009, le tourisme commence à diminuer jusqu’à disparaître complètement dans un Mali amorçant sa descente aux enfers. Résister et témoigner deviennent indispensables.
Parution : 2018
ISBN 978-99952-70-77-3
Acheter le livre : Dans tous les points de vente des éditions La Sahélienne