Au nom de tous les siens, Diby Silas Diarra, un héros solitaire et oublié ?

Résumé: Diby Silas Diarra est né en 1934 à Mayerasso dans le cercle de San. Après ses études fondamentales il s’engage dans l’armée coloniale où il fera une carrière fulgurante et brillante jusqu’aux indépendances en 1960 où il intègre naturellement la jeune armée nationale du Mali. Officier d’une rare clairvoyance, c’est lui que le général Abdoulaye Soumaré envoie au nord du pays lorsque la première rébellion gronde en 1963. Intransigeant quant à la hiérarchie militaire, il réprouve le coup d’État militaire de 1968, il est arrêté en août 1969 avec quelques camarades et envoyé au camp de Taoudénit où il meurt de privations et de maltraitance le 22 juin 1972.

Aujourd’hui, au regard de ce qu’il fit et fut pour le Mali, faut-il parler d’un héros solitaire et oublié ?
Rien n’est moins sûr !

Auteurs: Le père Joseph Tanden Diarra est né vers 1956 à Touba dans le
cercle de Tominian. Il est ordonné prêtre le 31 décembre 1983 et a mené une carrière bien remplie au sein de l’Église catholique.
Prêtre en paroisse de 1983 à 1990, il est Secrétaire général de la CEM de 1994 à 2003 et fondateur de l’Unité universitaire à Bamako (UUBa) de l’UCAO de 2007 à 2013. Il est président de l’UCAOUUB à Bobo-Dioulasso de 2013 à 2015 et recteur de l’UCAO avec résidence à Ouagadougou au Burkina Faso de 2015 à 2020. Il est titulaire d’une maîtrise en Sciences Sociales, d’un doctorat en Histoire de l’Afrique et en anthropologie. Il est l’auteur de Capitaine Diby Silas Diarra, correspondance d’un bagnard paru en 2018.

Monsieur Victorien Dakouo est né vers 1942 à Touba dans le cercle de Tominian. Après ses formations dans différents établissements ici et ailleurs, il est enseignant d’anglais au Lycée Prosper Kamara de 1972 à 1975. À partir de cette date il se tourne vers l’édition, les EDIM de 1975 à 1989. De 1992-1996, il est coordinateur du projet AUTORAPHE à l’OCED à la coopération canadienne : a) coordinateur à la DSE (formation d’auteurs à l’élaboration de manuels de lecto-écriture en langues nationales au Niger, Mali et Burkina Faso ; b) consultation GTZ au projet Éducation de base en pays dogon (PEBPD), pour l’encadrement d’auteurs et d’illustrateurs Dogonons, pour l’élaboration de manuels de lecto-écriture en Dogoso, pour les écoles communautaires de 1996-1998. De 1998 à la retraite, travaille aux Éditions DONNIYA

Format: 13.5cm x 21cm

Nombre de pages: 328

ISBN: 978-99952-76-83-6

Parution: Septembre 2021

Disponible dans nos points de vente

Tinkélé, des origines à la modernité

Résumé: Cet ouvrage retrace succinctement l’histoire du Jitumu et celle de son héros Jitumu Moussa, l’emblématique géomancien qui savait avec sagesse et dextérité, interroger la poussière, tisser la vérité, prédire et prévenir l’avenir à travers le dévoilement du langage ésotérique des symboles: terre, air, eau, feu et esprits. Il relate les valeurs ancestrales à l’origine de la fondation de Tinkélé, un village du Jitumu fondé au 18ème siècle par le légendaire chasseur Sogolon Makan dont le trophée jamais égalé par un semblable fut une écharpe rouge tirée des entrailles d’un Buffle qu’il venait de tuer.

Un document à lire pour s’informer, apprendre, se cultiver et se laisser subjuguer par la force de l’oralité, de la tradition (les cultes et le rites) et de l’univers culturel Bambara du Jitumu et Tinkélé en particulier, à travers les patrilignages, les baons, les pratiques séculaires au nombre desquelles le maraige traditionnel et ses réalités, les fourougnôkonw, le « mossokounadon », le forochiô et le namakrôni, le sisson, le sousson, le dougousson et le donsossi. Enfin, ce livre annonce une ère nouvelle qui interpelle et invite la jeunesse à plus de compréhension, plus de solidarité et d’engagement pour un Tinkélé prospère et résilient, un Tinkélé ouvert aux innovations et au progrès mais fier et jaloux de ses racines.

Auteurs: Né en 1955 à Tinkélé, Arrondissement de Ouélessébougou, Cercle de Kati, Idrissa Samaké est diplômé en philosophie de l’Ecole Normale Supérieure de Bamako. Professeur d’enseignement secondaire, il a surtout évolué dans le monde des ONG pendant plus de trente (30) ans. Il occupa plusieurs postes de responsabilité au sein de l’Organisation Canadienne pour l’Education au service du développement (OCED/CODE) pour l’Afrique de l’Ouest. Membre fondateur et directeur exécutif de l’ONG ALED, Idrissa a longtemps œuvré dans le domaine de l’éducation, de l’alphabétisation, de l’édition, de la promotion du livre et de la lecture ainsi que dans le développement d’un environnement lettré dans la sous-région. Il fut consultant de la firme canadienne « SOGEMA » pour l’Audit des manuels scolaires au Mali en 2006 et de « Beauchemin International » du Canada à propos du développement des matériels pédagogiques en Afrique en 2000 et l’édition en 2001.

Magara Samaké est né vers 1961 à Tinkélé où il effectua ses études primaires. Nanti de son Baccalauréat obtenu au Lycée de Dioïla, région de Koulikoro, il poursuivit ses études universitaires à l’Ecole Normale Supérieure de Bamako, Mali. Diplômé en Philosophie en 1986, il a enseigné au Lycée Mahou à Abidjan, République de Côte-d’Ivoire, où lui a été décerné « un diplôme d’Excellence ». De retour au Mali, il enseigna au Lycée Cheick Anta Diop avant de devenir Censeur, puis Proviseur du lycée Platon dont il et membre fondateur.

Format: 13.5cm x 21cm

Nombre de pages: 186

ISBN: 978-99952-76-98-0

Parution: Septembre 2021

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Mon beau métier

Résumé: Ce témoignage montre à suffisance la passion que l’auteur a pour son beau métier. Cette passion touche aussi les arts, la culture, le sport et les voyages par ricochet. Cela veut dire qu’un enseignant digne de ce nom se retrouve toujours dans ces différents domaines de la vie car l’exercice de sa fonction
l’y conduit.

Format: 13.5cm x 21cm

Nombre de pages: 63

ISBN: 978-99952-76-89-8

Parution: Septembre 2021

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La société malienne à l’épreuve des contradictions

Auteur: Né en 1966 à Ségou, Djibril Soumounou a fait ses études primaires et le lycée dans sa ville natale, de 1973 à 1987. Il entre à l’Ecole Normale Supérieure (ENSUP) de Bamako en 1987 et en sort en 1991 avec une maîtrise en Philo psychopédagogie (PPP).
Au cours de sa carrière professionnelle, il travaille successivement au projet EFFOC financé par le FNUAP (1999-2001), puis devient contrôleur de gestion dans une pharmacie grossiste privée à Kayes.

Entre 2001 et 2016, il devient professeur principal au Lycée Abdoul Karim Camara dit CABRAL de Ségou avant de devenir en 2017 chef de Section Curricula à l’Académie d’Enseignement de Ségou.
Il reprend le chemin des études de 2017 à 2019, pour faire un Master 2 en
Philosophie à l’Université des Sciences Humaines et des Sciences de l’Education, de Kabala à Bamako.
Il est auteur de : Problématique des actualités africaines, cas spécifique du
Mali, Bamako, Août 2015.
Ce document constitue le rapport de fin d’études en Master de recherche,
sous la direction du Dr Thérèse SAMAKE, avec comme membres du jury
Dr Nacouma Augustin BOMBA et Dr Souleymane KEITA.

Format: 13.5cm x 21cm

Nombre de pages: 120

ISBN: 978-99952-76-82-9

Parution: Août 2021

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Abouagir, de la nécessité de vomir les Hommes ?

Résumé: De la nécessité de vomir les Hommes ? Suivi du dialogue premier met l’homme d’aujourd’hui au cœur de sa misère mentale. L’homme est fragile. Il peut se casser à tout moment. Mais vous n’entendrez pas le bruit de son effondrement comme le bruit d’un arbre qui tombe mais plutôt comme celui d’un arbre qui pousse. C’est-à-dire que lorsque cette fibre d’estime se brise, ou nous quitte, autrement dit, lorsque notre volonté n’est plus apte de s’émerveiller face à une beauté ou se courroucer face à une sottise alors l’on cesse d’être humain pour soi et pour les autres et pour la société entière.

Cette réflexion envers et contre tous nous indique que l’homme créa l’homme. Mais Dieu donna-t-il seulement son accord ? Y’a-t-il nécessité de vomir l’homme pour son œuvre ad vitam aeternam ? Perdra-t-il ses facultés mentales ou poursuivra-t-il la vente de ses illusions ? C’est ce que Abouagir tente de décrypter en allant jusqu’à proposer un dialogue entre des protagonistes de la vie quotidienne sur les grands sujets qui préoccupent. L’un deux, Cabral, dont les fusibles semblent sauter à première vue n’a de mémoire que pour Abdoul Karim Cabral et Thomas Sankara…».

Auteur: Abouagir est le pseudonyme emprunté par monsieur Bakary Traoré pour présenter ces deux textes.
En 2008, il obtient sa maîtrise en anthropologie, chemine auprès du professeur Naffet Keïta qui l’initia à la recherche. Ayant commis de nombreuses études et enquêtes au compte de l’Ird, du Credos, AfricSanté, Think Peace etc. Il consacre actuellement un Master 2 en anthropologie (Socdev, LMI MaCoTer, université de Kabala).

Format: 13.5cm x 21cm

Nombre de pages: 141

ISBN: 978-99952-76-71-3

Parution: Août 2021

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Le bonheur est un luxe

Résumé: L’échec n’est pas un cul de sac, mais une possibilité de recommencer autrement. L’auteure a expérimenté une trajectoire de vie avec des relations différentes. Mais la finalité est la même : Echec.

L’entrée en relation avec autrui est toujours imprédictible. Elle porte désormais le genre humain sur un mode de suppression de toute forme d’attachement. Les chicanes sont immanentes à toute relation, mais le respect, la confiance et la communication en restent les piliers.

Auteure: Hawa Traoré est une écrivaine au talent prometteur.
Sociologue de formation, elle a effectué l’essentiel de
sa carrière professionnelle dans des structures de communication.
Son parcours académique et professionnel ainsi que les
vicissitudes de la vie ont suscité en elle l’envie d’écrire.

Format: 13.5cm x 21cm

Nombre de pages: 89

ISBN:: 978-99952-76-85-0

Parution: Août 2021

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Le destin troublé de Mohamed


Resumé: Le destin de Mohamed n’est en rien différent de celui de chaque malien.
Les rebellions successives et leurs mauvaises gestions par les différentes
autorités ont fini par affaiblir l’Etat au point de provoquer son effondrement,
voire même son anéantissement.Le bateau Mali s’est engouffré dans les eaux troubles du fleuve Niger en pleine tempête et n’eut été la baraka héritée de nos prédécesseurs, il se serait retrouvé au fond des abîmes sans aucun espoir de remonter à la surface.

Heureusement que le brassage entre ethnies depuis le temps des empires a fait du Mali un peuple soudé par le sang et par leur foi inébranlable en la patrie. C’est cette union sans faille qui nous a permis de recoller les morceaux et d’espérer un avenir meilleur.
Ici, l’auteur met l’accent sur la résistance sans faille de Mohamed Touré personnage principal du roman qui est à cheval sur les deux ethnies dominantes du septentrion malien à savoir les Sonrais et les Touaregs et aussi sur la bravoure de tout un peuple dont les efforts conjugués ont
permis au Mali de rester encore debout.

Auteur: Né vers 1958 à Bamba, cercle de Bourem, Région de GAO. Obtention du baccalauréat première partie en Sciences Biologiques avec mention assez bien, session de juin 1978 au Lycée Askia Mohamed. Obtention du baccalauréat deuxième partie en Sciences Biologiques avec mention passable en juin 1982 au Lycée de GAO, après la suspension. Fréquentation de l’Ecole Nationale d’Administration, Section Economie Générale.
Titulaire d’un diplôme en Informatique délivré par le RESAFAD en
1991.Obtention d’un diplôme en COMPTABILITE et en Gestion
d’Entreprises à l’UNIVERSITE BK à Kalabancoro à Bamako en 2012. Bénéficiaire de plusieurs stages et séminaires tant à Bamako qu’à l’intérieur du Mali.

Format: 13.5cm x 21cm

Nombre de pages: 105

ISBN: 978-99952-76-63-8

Parution: Juillet 2021

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Littérature : « Écrivains en débat », une vitrine pour les écrivains


Le complexe culturel Blonba a accueilli le jeudi 8 juillet dernier le tout premier numéro de la rencontre littéraire intitulée « Écrivains en débat », une initiative de la maison d’édition La Sahélienne et ses partenaires, qui se veut un espace de promotion des écrivains et de leurs ouvrages.

Exposition-vente et dédicace de livres, visite de la galerie de portraits d’écrivains, grillades, prestations d’artiste slameurs, présentation d’ouvrages, débat télévisé, voilà les activités qui ont étoffé le premier numéro de la rencontre littéraire « Écrivains en débat » tenue le jeudi 8 juillet dernier au complexe culturel Blonda.

« Écrivains en débat » est une initiative de la maison d’édition La Sahélienne et le complexe Blonba en collaboration avec PEN Mali et Mali Valeurs. Avec le thème « de l’effondrement à la refondation », le débat télévisé de cette rencontre a réuni sur le plateau quatre auteurs : Chab Touré, auteur de Le livre d’Elias, Mirjam Tjassing, auteure de Mali, châteaux des cartes, Moussa Balla Diarra auteur de Mansala et Alioune Ifra N’Diaye, auteur de On ne naît pas banyengo, on le devient. Tous ont été édités chez la Sahélienne. Ce thème, à en croire Ismaila Samba Traoré, promoteur de la Sahélienne, a été choisi en raison de la situation actuelle du pays afin que chaque intervenant puisse proposer ses solutions de sortie de crise, étant donné que ce sont des auteurs qui évoquent des sujets qui ont trait à la situation que vit notre pays ces dernières années.   

Cette initiative est bien accueillie par les écrivains et les amoureux du livre. Selon Mirjam Tassing, « Écrivains en débat » est important à plusieurs égards : « Cette initiative est vraiment importante parce que nous, les écrivains, nous mettons beaucoup d’énergie à écrire et l’objectif est que nos livres soient lus après la publication. Et pour qu’un livre soit lu, il faut qu’il soit connu des lecteurs, donc je crois que cette initiative est à saluer, car elle nous permet de faire la promotion de nos ouvrages », a-t-il expliqué

Fousseyni Togola, journaliste écrivain, abonde dans le même sens : « Il y a un manque criant d’espace adéquat de débat autour des ouvrages des écrivains dans notre pays. C’est une belle initiative qui va beaucoup aider les auteurs qui pourront venir échanger avec le public autour de leur production littéraire. »

Les organisateurs se disent satisfaits de ce coup d’essai qui a été un coup de maître et espèrent pérenniser cette rencontre : « Ce premier numéro est une réussite avec tous ces écrivains et le public qui ont répondu à l’appel et la qualité des échanges est très bonne. Maintenant, nous comptons en faire un grand événement autour du livre qui nous l’espérons contribuera à la promotion des auteurs et de leurs ouvrages », expliquent-ils.          

C’est désormais chaque deuxième jeudi du mois que les amoureux du livre se donneront rendez-vous au complexe Blonba pour cette rencontre des « Écrivains en débat ».

Youssouf Koné, journaliste à Joliba FM

Livre : « Boriben » ou le difficile itinéraire d’une migrante

Dans son tout premier livre, publié aux éditions La Sahélienne, Yacouba Issoufi Maïga expose le difficile itinéraire de Boriben.

Son héroïne est une mère de famille en quête d’eldorado pour sa fille. Migration illégale.

À la recherche d’une heureuse vie , Boriben, synonyme de beauté physique, d’intégrité, de probité et d’amour, des qualités « auxquelles aspirent tous les êtres humains sur terre », connaît l’enfer sur terre.

Du Libéria à Rome, en passant par Abidjan, Ouagadougou, Agadez, Tripoli et Tunis, quelle souffrance Boriben Birdji et sa fille Nana (enfant du monde) n’ont pas traversé à la recherche d’un eldorado. Nana aspire à un succès international dans la mode italienne. Un idéal qui semblait malheureusement fuir à chaque fois que ce couple mère-enfant espérait l’atteindre.

Le sous-titre de l’ouvrage, « Fermez ports et aéroports, je viendrai quand même », semble bien souligner toutes les difficultés à éradiquer ce phénomène de la migration illégale. Ce, malgré des mesures draconiennes prises par des pays occidentaux.

« Fiction et réalité y alternent …»

« Boriben, comme la majeure partie de ceux qui avaient fui la violence et la précarité, s’était réfugiée dans les pays voisins. Elle était partie, parce qu’au-delà de la haine qu’elle éprouvait contre la violence des hommes, elle voulait donner à sa fille Nana, la vie dont elle avait toujours rêvé, mais qu’elle n’avait jamais pu s’offrir », peut-on lire dans ce roman publié en 2021.

La soif, la famine, la peur, la traite des personnes, la violence, surtout dans des zones contrôlées par des groupes armés, des narcotrafiquants, sont le sort de ces hommes et femmes qui traversent le désert ou la méditerranée, à la recherche d’un idéal. Comme l’a remarquablement souligné le préfacier, Ario Issoufi Maiga, professeur de lettres et inspecteur d’Enseignement fondamental : dans cet ouvrage, « fiction et réalité y alternent ou s’entremêlent pour en constituer la trame ».

 « L’acceptation d’oser penser et inventer »

Dans une région où sévit une véritable crise sécuritaire, comment parler de la migration sans évoquer ce phénomène qui colle à la peau de ces migrants. Elle est l’une des réalités qu’ils fuient, mais qu’ils rencontrent tout au long de leur chemin.

Boriben ne se contente pas de dénoncer cette migration illégale, il propose également des voies et moyens pour résoudre ce phénomène. Le salut des pays africains « réside dans l’acceptation d’oser penser et inventer leur propre modèle de développement fondé sur les valeurs africaines endogènes enrichies par des emprunts positifs issus des sciences et des technologies occidentales », lit-on dans la Préface.

Fousseni Togola

Tchakou le perroquet

Nous retrouvons, dans cet album à hauteur de tout petit, le jeune héros (il a un peu grandi !) de Nabi mon frère, Nabi, en compagnie de son ami le perroquet Tchakou. Une
histoire d’amitié toute en sensibilité. « Mon ami Tchakou, je lui parle tous les jours. Il comprend tout. »

Tchakou, un confident hors pair, sincère, compréhensif, adulte…
Un album tout simple. Des observations à la première personne et des questions, « Est-ce que les perroquets font des bébés ? » par exemple, qui resteront évidemment sans réponses… Un album attachant par la complicité qui unit l’enfant à son ami, et la tendresse qui s’en dégage.

Texte: Diadji Diko

Illustrations: Nafogo Coulibaly

Couleurs: Clémence Peyrous

Disponible dans nos points de vente