Aïcha DIARRA

Aïcha Diarra est née en 1994 à Bamako.
Élevée au milieu de nombreux frères et sœurs, cousines et tantes, elle est scolarisée dès l’âge de quatre ans dans une école de Quinzambougou, à Bamako. Selon ses proches, durant toute sa scolarité, du primaire jusqu’au baccalauréat, elle est restée première au classement des écoles qu’elle a fréquentées.
Aïcha a commencé à écrire ses premiers poèmes à neuf ans.
Le présent recueil est de pure imagination : une petite fille parle de son grand-père, de solitude, d’amour, mais aussi des problèmes de la vie comme la faim et la pauvreté.
Adepte de football féminin, elle est milieu de terrain dans une équipe de Bamako qui a participé à une compétition internationale des moins de quatorze ans, en 2008 en Norvège. Super Club, son équipe, a remporté le tournoi en question, qui a vu la participation de 81 pays.

Livre paru aux éditions La Sahélienne
Les larmes de la tombe, hors collection, poésie, 2012

Festival international de poésie de Saint-Louis-du-Sénégal, 1-3 décembre 2011

Ismaïla Samba Traoré serrant la main de la marraine, Aminata Sow Fall, après son discours en tant que représentant des délégations étrangères.

Public de festivaliers.

De gauche à droite : Djibril Falémé Diallo, Alioune Badara Bèye (président de l’Association des écrivains du Sénégal), Ismaïla Samba Traoré et la poétesse Mme Wardini Fatou Yelly.

Adama Traoré à l’honneur lors du 5e colloque international Chantier Sud-Nord de Biarritz

Adama Traoré, dont le dernier ouvrage Le petit théâtre du Farfadet – La messe est dite vient de paraître au sein des éditions La Sahélienne (coll. 50 voix), sera à l’honneur lors du 5e colloque international Chantier Sud-Nord qui se tiendra à Biarritz (France), du 16 au 18 novembre 2011.

Le 18 novembre (20h30 au chapiteau spectacle de Baroja, à Anglet), aura notamment lieu une représentation de sa pièce Le Farfadet ou les tribulations d’un opérateur culturel du Sud.

À lire dans la presse française :

Articles de presse sur Chagrin Nomade de Sidi Alamine Ag Doho

Deux articles viennent de paraître dans la presse nationale, au sujet du dernier livre de Sidi Alamine Ag Doho, Chagrin nomade (coll. La dune verte), paru en septembre 2011.

Vous pouvez les retrouver en ligne :

Retours au Mali, d’Ismaïla Samba Traoré

Quatrième de couverture : Un expatrié malien posant un regard mi-amoureux mi-amer sur son lointain pays, un ménage qui implose, un couple parti à la découverte de ses origines, une femme contrainte au pire pour échapper à la sécheresse et à la famine, des combattants luttant chacun à sa manière pour un Sahara meilleur. Autant de personnages, autant d’interrogations et d’exigences. Qu’ils soient déracinés ou dépaysés, qu’il aient fui pour se protéger ou qu’ils se soient engagés pour se défendre, ici et là-bas, le coeur de leurs préoccupations, c’est un retour vers un Mali à se réapproprier.

L’auteur :  Ismaïla Samba Traoré est né à Bamako. Il a suivi des études universitaires de communication, de sociologie de la littérature et d’anthropologie à Bordeaux. Tour à tour journaliste, chercheur en sciences sociales, président d’associations culturelles et littéraires, professeur à l’université, haut fonctionnaire, il est l’auteur de plusieurs ouvrages. Il a notamment publié « Les ruchers de la capitale », roman nominé aux Grands Prix littéraires d’Afrique Noire de 1983. En 1993, il crée La Sahélienne, bureau d’études et maison d’édition.

Parution : octobre 2011.
En coédition avec l’Harmattan.

Acheter le livre :
– Dans tous les points de vente des éditions La Sahélienne
– Sur le site de l’Harmattan (version papier ou numérique)

Chagrin nomade, de Sidi Alamine Ag Doho

Quatrième de couverture : Voici venue l’heure du tendé et de son rituel de séduction où l’esprit comme le corps sont mis à l’épreuve. L’enjeu : gagner le cœur d’une femme sans troubler la bonne entente entre campements. Erachtane relève le défi.
À travers trois histoires de jeunes Touaregs affleurent les usages d’une communauté célébrant autant la culture que la bravoure, la beauté que l’esprit. Pourtant, ces mêmes traditions qui subliment l’amour ne sont pas toujours tendres envers les amoureux, et gare à qui voudrait nager à contre-courant.
Sidi Alamine Ag Doho dépeint de manière saisissante une société de l’apparat dont il dévoile les contradictions de son écriture intimiste.

L’auteur : Sidi Alamine Ag Doho est directeur de l’école de Tarkint, au nord de Gao. Au début des années 1990, il est opérateur de saisie à La Sahélienne. Il profite de ce court répit dans sa vie mouvementée pour écrire le récit de ses années d’errance, paru en 2010 dans La dune verte sous le titre « Touareg. 1973-1997 : vingt-cinq ans d’errance et de déchirement ».

Parution : Octobre 2011
Ouvrage coédité avec l’Harmattan

Dans la presse : retrouvez les articles parus sur ce titre

Acheter le livre :
– Dans tous les points de vente des éditions La Sahélienne
– Sur le site de l’Harmattan (version papier ou numérique)

Du même auteur :
Touareg 1973-1997 : vingt-cinq ans d’errance et de déchirement, La Sahélienne, Coll. La dune verte, 2010

La grossesse et le suivi de l’accouchement chez les Touareg Kel-Adagh (Kidal, Mali), de Mohammed Ag Erless

Quatrième de couverture : Le problème de la santé maternelle et infantile reste encore très préoccupant aujourd’hui pour les pays en voie de développement, notamment en Afrique chez les populations touarègues (Kel-tamasheqs) pauvres, quasiment analphabètes et souvent éloignées des structures de santé.
La gestion de la grossesse et de l’accouchement n’est pas seulement l’affaire du domaine médical, cette question relève aussi du champ politique, social, culturel et économique. Elle intéresse autant les acteurs du champ de la médecine que ceux qui travaillent dans le domaine des sciences sociales. Dans un contexte où la mortalité materno-infantile est très élevée, l’auteur approfondit le sujet de la santé maternelle chez les Touaregs en général, et ceux de l’Adagh (Mali) en particulier et souhaite contribuer de cette façon à l’enrichissement des travaux socio-anthropologiques existants.
Grâce à une étude approfondie de son milieu, il s’attache à décrypter les attitudes des populations dans le cadre de la grossesse et de l’accouchement pour analyser comment les femmes touarègues, dans les milieux nomade et urbain, gèrent la question de la santé maternelle en pratiquant la médecine traditionnelle ou en fréquentant les centres de santé. L’auteur s’attache ainsi à mieux comprendre les raisons qui freinent la fréquentation des structures de santé qui empêchent encore trop souvent aux femmes d’enfanter dans des conditions sanitaires décentes.

L’auteur : Mohamed Ag Erless est né et a grandi dans l’Adagh. Chercheur en sciences sociales, actuellement directeur de la mission culturelle de Kidal-Es Souk, Ag Erless est un pur produit de l’Institut des sciences humaines du Mali, où il a débuté sa carrière il y a une trentaine d’années.

Parution : 2010
Ouvrage coédité avec l’Harmattan

Acheter le livre :
– Dans tous les points de vente des éditions La Sahélienne
– Sur le site de l’Harmattan (version papier ou numérique)

Du même auteur :
Il n’y a qu’un soleil sur terre; contes, proverbes et devinettes des Touaregs Kel-Adagh. La Sahélienne, Coll. La dune verte, 2009