Quatrième de couverture : « Maintenant que la tristesse sème l’allée de mon regard,
Et que la solitude imite ma façon de marcher,
Oh ! Seigneur, vous que j’aime et que j’aimerai par-dessus tout,
Je cesse de vous reprocher de me l’avoir enlevé,
Mais n’interdisez pas à mes yeux de pleuvoir »
L’auteure : Aïcha Diarra est née en 1994 à Bamako.
Élevée au milieu de nombreux frères et sœurs, cousines et tantes, elle est scolarisée dès l’âge de quatre ans dans une école de Quinzambougou, à Bamako. Selon ses proches, durant toute sa scolarité, du primaire jusqu’au baccalauréat, elle est restée première au classement des écoles qu’elle a fréquentées.
Aïcha a commencé à écrire ses premiers poèmes à neuf ans.
Le présent recueil est de pure imagination : une petite fille parle de son grand-père, de solitude, d’amour, mais aussi des problèmes de la vie comme la faim et la pauvreté.
Adepte de football féminin, elle est milieu de terrain dans une équipe de Bamako qui a participé à une compétition internationale des moins de quatorze ans, en 2008 en Norvège. Super Club, son équipe, a remporté le tournoi en question, qui a vu la participation de 81 pays.
Parution : 2012
Coédition avec L’Harmattan.
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